lundi 19 novembre 2007
Commentaires
L'équipage du Colvert a décidé de laisser sur le Blog les commentaires qui ont été ajoutés aux articles des mois de septembre et d'octobre. Soit celui (ceux? moins probable) qui les a écrit ne sait pas lire, soit il a échoué son cours de compréhension de texte. Leur teneur ne sert qu'à démontrer à quel point il est difficile et peut-être dangereux de tenter d'établir un débat sain et démocratique lorsque, pendant des années, on s'est contenté de n'être qu'à la remorque de ce que l'on veut bien nous dire sans jamais regarder et questionner la réalité qui nous entoure.
Désolé pour lui, nous ne sommes pas des béni-oui-oui.
Nous ne sommes pas là pour nous engager dans une polémique aussi stérile que vaine. Si certains se sentent menacé et ne savent répondre que par l'invective, le derviche (qui ne sera jamais un imam) lui dit: "Les chiens aboient, la caravane passe."
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En réponse au délégué syndical, je crois que tu n’as pas vraiment saisi mon problème.
RépondreSupprimerLe gros hic dans tout ça est le délai insupportable que la Ville nous fait endurer concernant le relevé d’emploi pour recevoir le chômage-maladie… Et toi de me répondre : «Les représentants syndicaux devraient effectivement négocier avec la Ville une méthode qui soit plus rapide…»… SOIT ! Voilà ce que vous devriez faire… SOIT…
J’ai attendu plus de 55 jours pour recevoir ce papier, et je te dis pas le nombre incalculable d’appels que j’ai fait pour l’obtenir. En passant j’étais pas en arrêt de travail pour des cors aux pieds…!!! Rien pour remonter le moral, disons-le.
Délai de carence : tu as oublié qu’il y a une exception et je fais parti des exceptions et je cite :
«Si vous êtes en congé de maladie payé suite à votre dernier jour de travail, la période d’attente de 2 semaines pourrait être annulée.» C’était mon cas, donc pas de délai de carence que tu as omis d’inscrire suite à l’article sur l’ass.-chôm.
En finissant, tu dis qu’à chaque convention vous faites des gains? S.v.p. me les rappeler car je n’en ai point souvenance… Et qu’en est-il des pertes?
Pour commencer, je ne suis pas un délégué mais quelqu'un qui ne comprend pas votre acharnement à travailler en marge, à vous plaindre sans cesse, à déformer la réalité ou à l'adapter pour des fins qui j'avoue, m'échappent un peu.
RépondreSupprimerBien heureux que nous ayons la même position quant aux délais trop longs de production de cessation d'emploi. Plutôt que de dire « on devrait travailler pour changer ces méthodes, que pourrait-on faire ? », vous préférez chercher le coupable (surement pas la Ville n’est-ce pas?) et frapper sur le fautif. On y comprend que vous préférez japper plutôt que d’essayer d’améliorer la situation. Dommage, vraiment dommage. C’est probablement la raison pour laquelle il y a tant de chose que vous ne comprenez pas.
Quant à ton exception du délai de carence, elle fait partie intégrante de l’explication. Le délai de carence est toujours existant. Il est simplement compensé par une indemnité prévu à la convention collective et non par l’assurance emploi. Relisez-vous mon chère palmipède ou devrais-je dire relisez-moi !
Quant aux gains, la liste est longue. Permettez-moi donc de vous donner que certains exemples : Avant, les auxiliaires n’avaient aucune progression salariale, maintenant si. C’est un gain. Avant, les auxiliaires n’avaient pas de vacances, maintenant si. Autre gain. Avant, maximum 14 heures de mobile, maintenant 39. Avant pas d’assurance long terme, congé de maternité, parental et d’adoption pour les auxiliaires plus de cinq ans, maintenant si. Comment qualifiez-vous donc cela ?
En ce qui concerne les pertes, c’est moi qui manque de mémoire… et ne me parlez pas de perte de pouvoir d’achat de votre professeur. Ses palmes sont trop longues pour appuyer sur les bonnes touches de sa calculette !
Cessez donc d’être de mauvaise foi et de vous rappeler simplement ce qui fait votre affaire. Votre crédibilité en souffre !
Votre pas délégué syndical.
Pendant que j'y suis...
RépondreSupprimerBonne lecture, avec respect pour l'avis contraire.
Pour commencer, je ne suis pas un délégué mais quelqu'un qui ne comprend pas votre acharnement à travailler en marge, à vous plaindre sans cesse, à déformer la réalité ou à l'adapter pour des fins qui j'avoue, m'échappent un peu.
Bien heureux que nous ayons la même position quant aux délais trop longs de production de cessation d'emploi. Plutôt que de dire « on devrait travailler pour changer ces méthodes, que pourrait-on faire ? », vous préférez chercher le coupable (surement pas la Ville n’est-ce pas?) et frapper sur le fautif. On y comprend que vous préférez japper plutôt que d’essayer d’améliorer la situation. Dommage, vraiment dommage. C’est probablement la raison pour laquelle il y a tant de chose que vous ne comprenez pas.
Quant à ton exception du délai de carence, elle fait partie intégrante de l’explication. Le délai de carence est toujours existant. Il est simplement compensé par une indemnité prévu à la convention collective et non par l’assurance emploi. Relisez-vous mon chère palmipède ou devrais-je dire relisez-moi !
Quant aux gains, la liste est longue. Permettez-moi donc de vous donner que certains exemples : Avant, les auxiliaires n’avaient aucune progression salariale, maintenant si. C’est un gain. Avant, les auxiliaires n’avaient pas de vacances, maintenant si. Autre gain. Avant, maximum 14 heures de mobile, maintenant 39. Avant pas d’assurance long terme, congé de maternité, parental et d’adoption pour les auxiliaires plus de cinq ans, maintenant si. Comment qualifiez-vous donc cela ?
En ce qui concerne les pertes, c’est moi qui manque de mémoire… et ne me parlez pas de perte de pouvoir d’achat de votre professeur. Ses palmes sont trop longues pour appuyer sur les bonnes touches de sa calculette !
Cessez donc d’être de mauvaise foi et de vous rappeler simplement ce qui fait votre affaire. Votre crédibilité en souffre !
Votre pas délégué syndical.